Une ombre...

Il s’approcha de la porte avec la plus grande précaution , cela faisait plusieurs jour déjà qu’il observais de loin le bastion des Inquisitors. Et ceux malgré tout ce que les règles les plus élémentaires du bon sens lui criait. Mais il voulais savoir et cela le tourmenterais jusqu’à ce qu’il leur posent la question….

Il s’approcha donc avec une grande précaution mais sans ce cacher, son long manteau dissimulais son visage et il s’était arranger pour supprimer tout signe distinctif de sa tenue mais il avait aussi fait en sorte de ne pas porter d’armes du moins pas de celle qui se remarquais. Une fois face a la lourde porte il frappa trois coups. Puis il dit:
« Fiers Inquisitors, serviteur de dieu, je viens ici de ma propre volonté pour servir Dieu et le Roy par ce que d’autre appelleront ma trahison. Je suis actuellement membre d’un alignement adverse et d’une guilde opposé à la votre mais ma loyauté ne leur a jamais appartenue aussi je viens ici vous proposé mon épée a votre service et surtout a celui de Dieu. Je sais parfaitement que ma conduite peut paraître douteuse et mes intentions semblé mauvaise mais je m’en remet a votre jugement pour décidé de mon sort »

Après avoir parlé il recula de trois pas, mis le genou gauche a terre, inclina la tête et attendit que vienne une réponse ou une flèche.

Sur une des murailles de la forteresse, Torak leva son arc.
Il était rare que les invités réclamaient eux-même une flèche. Il encocha, visa la tête puis relâcha la flèche.
Un brusque coup de vent vint brusqué le déplacement du projectile, qui alla se ficher dans un arbre juste à coté de l’inconnu.

*Merde, je deviens vraiment merdique avec cette putain d’arc… Bon maintenant que je me suis planté, aussi bien le laisser entré.*

Torak se dirigea vers le hall d’entré. La pièce baignait dans son obscurité habituelle. Il ouvrit la porte puis laissa l’inconnu s’aventurer dans l’entre des Inquisitors.
La porte se referma derrière lui. De l’obscurité s’éleva une voix forte et claire.

-Décline-nous ton vrai nom et tes intentions. Si ta réponse nous convient, peut-être auras-tu la vie sauve.

L’écho de la voix se percuta sur les murs de pierres de la pièce. Le silence revint…

La jeune guerrière avait entendu du bruit... Quelqu'un qui avait frappé a la porte.
Elle se précipita dans le hall d'entré. Une fois encore, il était plongeait dans l'obscurité. Mais elle connaissait déja les lieux.
Et cette voix... elle savait très bien a qui elle appartenait. Elle s'approcha alors de l'archer et lui chuchota a l'oreille:


Dis... il peut tout de meme entrer alors qu'il a clairement dit qu'il ne se battait pas pour la meme cause que la notre ?


Tout en se faisant discrete pour ne pas se faire remarquer.

Après avoir passé la porte il s’arrêta , il venait déjà d’échapper, par un coup de chance monstre, à une flèche autant évité de rejouer sa vie dans les trente secondes qui suivait. D’ailleurs en parlant de chance il se jurat que s’il sortait vivant de ce lieu il tenterai plus souvent les jeux d’argent de la taverne enfin vu comme c’était parti son or ne semblais pas avoir trop de soucis a se faire….

Il secoua la tête, ce n’était pas vraiment le moment de penser à ce genre de chose. En plus de la personne qui avait parlé il sentais une deuxième présence, il n’aurait su dire où elle était ni ce qu’elle voulait mais il savait ce qu’elle ne voulait pas …. C’était sa présence à lui dans ce lieu.

Prenant son courage à deux mains et chassant de son esprit les images de mort et de torture qui lui venait a l’esprit il dit:
« Mes intentions sont simple: Servir Dieu et ce par l’intermédiaire du Roy. Pour ce faire tout les moyens je suis prêt a utiliser tout les moyens à ma porté ce qui comprend bien sûr la trahison et le meurtre. J’ai crus comprendre que vous étiez parmi les plus fidèles serviteurs du Seigneur aussi est-ce pour ça que je souhaite rejoindre vos rang. »

Il avait parlé d’une seul traite et lorsqu’il s’arrêta il était essoufflé malgré le peu de mots prononcé.
Il repris son souffle puis continua:
« Mon nom je ne peut le prononcé ici car malgré la solidité de la porte qui se trouve derrière moi les sons la traversent aisément aussi vais-je me contenté de vous remettre se parchemins sur lequel je l‘ai écrit.»

Il sortit de sous son manteau, un parchemins qu’il posa sur une table tout prés et recula de nouveau de façon à se retrouver presque dos a la porte ainsi il était sûr de voir arriver la mort en face si jamais elle devait venir le prendre.